Finalement l’essentiel reste l’essentiel. Un crâne on peut lui faire dire ce que l’on veut, il sourit toujours puis selon les yeux et les dessins d’ornement il raconte une histoire ou une autre. Celui ci donne le nord qu’il veut et n’en fait qu’à sa tête comme toute bonne girouette selon le vent et l’inclinaison de celui qui le porte à son sac. En ce moment, chargé en soirée de l’éclairage de la lampe à laquelle il est suspendu, il dénonce son emplacement quand elle s’éteint en renvoyant une légère et fragile fluorescence.
De cette petite histoire ,je retiens qu’il ne faut surtout pas perdre le nord!!! je l’imagine en chair et je le vois avec de belles fossettes sur les joues!!! bises