Finora mi ha dato fastidio disegnare i modelli con le mascherine a un punto che non le facevo, lasciavo vuoto il volto con una zona bianca e brutta senza corpo. In quest’ultimi disegni ho provato dare un po’ di esistenza a quest’attrezzo di sopravvivenza, non perche se lo merita ma perche il modello deve avere un volto.
Je n’arrive pas à m’habituer aux modèles avec le masque à un point que je les dessine avec une tache vide sur le visage, c’est flippant, une zone blanche et vide sans consistance. Dans ces récents dessins j’ai essayé de donner une certaine présence à ces outils de survivance, non pas parce que ça a une importance dans le dessin mais simplement parce que le modèle doit avoir un visage.