Dans chaque recoin des académies patientent des fragments d’académisme qui attendent une forme ou une autre de réveil contemporain. Au confluent des mouvements éphémères, chacun d’entre eux possède la force nécéssaire à traverser le temps et à enfanter encore. Plus j’étudie l’histoire de l’art et de ses techniques, plus je me libère, je me déshabille du superficiel et du temporaire. L’académisme contemporain c’est embrasser l’art complètement nu.