Coeur vagabond qui tourne montrant ses coquelicots sur nacre verte.
Pendentif coeur vert nacré et coquelicots
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Pendentif Méduse FLUO dans mer de paillettes
Contrairement aux gadgets de l’atelier qui ont un TAG au dos ce médaillon n’a qu’un côté avec un relief inclus dans de la résine à paillettes, à porter en bijoux sur chaînette rétro de préférence.
Séries de médaillons fluo et LOVE
Reprise des activités avec des médaillons à drôle de faciès pour commencer, visages fluorescents fleuris pour briller le soir!
LOVE médaillons en couleurs seulement deux pièces, une tranche d’argile dans la résine avec des pigments au dos pour cacher le mot écrit à l’envers.
LOVE cette fois ci des médaillons avec le dessin LOVE un peu sombre mais très coloré tout de même, toute une série de tranches toutes simples avec de la résine recto verso ou l’on peut voir le mot écrit dans le bon sens devant et à l’envers au dos. Quelques pièces noyées dans un fond de résine à pigments et paillettes pour des médaillons un peu plus larges mais très fins et un grigri rétro.
Un rescapé, il me restait cette tranche de sourire fluorescent dans une fleur un peu abîmé un peu défraîchi peut être même un peu aussi, et hop une cure de jouvence dans la résine! Les perles de la méduse ne se jètent pas: recyclage forever!
Sautoirs Millefiori fleur-papillon
Ça y est c’est reparti pour une nouvelle gamme de couleurs, l’été se prépare doucement et arrivera sûrement.
J’ai choisi vert et bleu versus jaune et rouge pour le motif de base, et des petites perles principalement bleues et vertes et un peu de bordeaux pour les intermédiaires. Même si les couleurs choisies vues de près peuvent être assez fortes (voir photo du dessin en base crue), leur mesure et leur proportion avec les teintes sombres créent un ensemble à chaque fois discret et facile à porter en toute circonstance. Ces sautoirs sont tous assez longs, en fait ils tombent bien juste comme il faut au choix entre dessus et dessous le niveau des songes. Le dessin est une fleur à la base de quatre pétales dont j’ai coupé des morceaux pour expérimenter en six avec un bord supplémentaire bleu puis une version papillon par ajout de vert au centre. Les formes demeurent simplement symbolisées sans être trop réalistes, le but étant de tirer sur les dessins pour former des perles assorties aux couleurs chantantes sans forcément identifier précisément le dessin; Perles rondes oblongues ou en forme de coeur.
À porter sur une chemise d’été en coton uni ou sur un col roulé d’hiver, ou en maillot de bains sur un simple voile de sel de mer ce sera tout aussi bien.
Lifting de sautoirs
À la casse la ferraille! J’ai démonté certains colliers qui selon moi étaient trop lourds à porter. Même si j’utilise du fil de métal fin et solide plus le collier est long plus il est lourd, et parfois le contact du métal dans le cou avec du poids devant ça devient désagréable à porter au bout de cinq minutes. Donc même si le collier est beau, il est « pesant ». Je n’aime pas les perles creuses pour le bruit qu’elles font et je tiens au « tombé » parfait des perles pleines. Pour redonner à ces pièces une certaine légèreté je les ai entièrement refaits sur du fil de coton avec les perles séparées de petits noeuds, gardant la même ambiance colorée de chacun ils ont en plus gagné en souplesse et j’espère en plaisir de les porter.
Une autre méthode de lifting consiste à donner une nouvelle jeunesse à un ancien dessin, ici une canne crâne punk fluo à fond transparent et une tête de princesse méduse verte toutes deux relookées avec une fleur verte assez récente et un contour orangé. Le millefiori qui en sort est plutôt dynamique, il me hâte d’être en été.
Et hop, dans la valise!
Sautoirs
Plusieurs nouveaux sautoirs rejoignent la collection. Pour les présenter j’ai choisi cette étrange Dame Jeanne, un court plastron au crochet pour la vêtir, chignon en immortelles de Corse sur crâne, et les colliers en guise de tout le reste. Ces récentes pièces sont les premières à avoir été montées en Corse, malheureusement sur un simple coin de table du salon car mon atelier est encore en friches, et attendent pour être enfin exposées en public dès la prochaine saison estivale. Je pense conserver leur fonction à ces deux Dames comme porte collier, remplies à la base d’une bonne quantité de sable pour les stabiliser, la verte me plait bien ainsi ronde et squelettique pleine de paradoxe!
Tête de Maure en couleurs
La nouvelle saison arrive à grand pas et comme toute bonne méduse du Fium’Orbu qui se respecte, je me prépare. Le motif « Tête de Maure » dessiné en 2011 dans l’argile est encore frais et j’en suis très heureuse car la série n’est toujours pas épuisée, en revanche je le propose chaque fois avec des assortiments différents. La nouvelle collection de « Testamora » se décline en couleur avec pas mal de teintes bronze et or dans les dessins et apprêts.
Bijoux sérieux et bijoux amusants
Des bijoux sérieux et des bijoux amusants car il faut de tout pour faire un monde, et surtout de toutes les couleurs pour tout le monde! Un motif Kaléidoscope est né tout récemment dans les tons de bleu-vert et j’en ai utilisé pour cette petite série limitée de médailles. J’ai aussi sélectionné quelques pièces de ma boite à coeurs pour un ensemble de tailles et coloris variés à porter en collier. Le mini tableau est une perle rectangulaire percée en deux points, elle est montée sur un double élastique qui passe par toutes les petites perles noires à pointes. J’aime beaucoup ce montage haut sur le poignet à porter l’été bras nus, finition de silhouette. Les autres bracelets sont tout en argile et de forme plus classique, seuls les dessins rompent avec la routine du classique demi-jonc. Mon petit chouchou de la page est ce bracelet en nonos noirs élastiqué, à limite de l’élégance juste là ou commence l’effronterie. Le seul sautoir de la série est en perles du même motif obtenu d’une spirale de touches de mauves et bleus dans du doré et du noir, avec une seule perle différente celle ronde dans l’anneau. Il est tout doux et très souple car monté sur coton noué, et léger sans aucun apprêt de métal.
Les premiers bijoux de la canne millefiori mega-fleur
Avec la canne d’hier, le millefiori « méga-fleur » j’ai fait ces quelques pièces l’histoire d’essayer et de commencer en douceur. Pour l’instant juste deux médailles, une petite et une plus grande, et une bague.
Comme toute série issue d’un même motif, le « tirage » est limité, car quand on est au bout de la canne … y’en a plus! Je vais donc essayer de varier les utilisations pour mettre à profit l’expression : Varier les plaisirs! À plus tard avec d’autres utilisations de ce dessin de fleur, des choses amusantes comme cette petite tortue par exemple?
Essais de montages collier 1860
À coeur perdu dans les montages. J’essaie d’abord un sautoir juste posé sur la table sans procéder au montage, ça ne me plait pas, même pas fait de photo. Quand ça commence comme ça je sais que ça va être dur. D’habitude je sais exactement ce que je vais faire comme montage au moment de la fabrication des perles, mais il arrive que je prépare des formes autour d’une idée très floue de leur futur et dans ce cas là c’est plus compliqué. Je me suis souvenue n’avoir jamais fait d’article sur le sujet du montage, que les bijoux que je fais je le montre toujours une fois finis et bien présentés, enfin le mieux possible. Cette fois ci, j’ai pensé à prendre un cliché de chaque essai de montage et vous pourrez découvrir en dessous de la photo de sélection toute une série d’images des idées de montage abandonnées. Je me suis même prise au jeu de me photographier avec les essais car j’essaie tout et je me regarde dans le miroir pour voir si « ça tombe bien » et si l’équilibre des formes et des couleurs est plaisant à mon oeil critique. Il est possible que vous préfériez une des versions « fantôme » comme cette bleue qui fut l’idée première …
… ou bien celle qui a les perles fleur rose et vertes en centre de cou faites avec la partie restante de la canne fleur interne à la canne coeur du motif…
… ou pareil mais avec des perles décorées de la canne coeur en centre … ou encore avec les disques rouges et les perlines de verre en ras de cou …
… à moins que vous ne préfériez comme moi la version officielle du 1860, j’ai retiré une perle entre la main de Fatima et le médaillon, remplacé les disques rouges par des perlines en même pâte et retiré celles en verre ce qui resserre un peu les franges en les regroupant d’avantage en centre du décolleté.
Je clos cet article sur deux paires de boucles montées sur dormeuses recuites avec une boule de pâte assortie aux tons des perles à l’emporte pièce fleur résinées recto verso.
J’espère avoir montré une partie intéressante du travail à travers ces étapes pour la création d’un tout petit et finalement très modeste collier. Le plaisir …. y’a un peu de ça non?