Celui ci c’est le mien! Je le porte en ce moment presque tous les jours et il a bien fait sourire les personnes qui me côtoient. J’en ferai d’autres plus petits et facile à porter car celui là est un peu imposant, et seul qui n’a peur de rien peut oser …
Des boucles en série résinée, des recto versos dans des tons différents.
Une paire de MINIX pour Gadouille et une paire d’anneaux pour ma soeur
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Sautoir mokumé bleu blanc
J’ai préparé plusieurs mokucubes, deux verts un foncé et un clair, un bleu, un bleu violet et un blanc.
Le blanc est à partir de marbre et translucide (50/50) et de translucide pur avec une grande quantité de feuille d’or aux patines différentes.
Dessous en vrac avec le sautoir, d’autres pièces, un collier monté en chainette dont le pendentif est à finir ainsi que le bracelet dans les mêmes tons. On voit bien sur cette photo l’intérêt de faire plusieurs mokumes, cela permet de choisir délibérement à chaque perle la tonalité voulue, et non pas aléatoire à la découpe. Bien sûr, c’est très long à préparer, sans compter le ponçage-lustrage !
Faux Jade
J’ai réalisé ces imitations de jade en suivant les conseils d’ami merlin sur PDP
Bien sûr, j’ai triché un peu, je suis trop mauvaise élève pour copier comme il faut, alors j’ai ajouté pour faire plus « faux » un peu de feuille de métal doré. Pour couronner le tout, j’ai trop forcé sur le vert et pas assez sur l’olive, mon jade est loin de ce à quoi je m’attendais ! Voici mes pierres cuites, poncées et lustrées à part celle aux fleurs scalpées qui est encore crue. C’est Domi qui nous a montré ce truc de scalper les fleurs à Figa007 !
Scalps cuits poncés lustrés et relavés à cause de la poudre de lustrage.
Vers ou vais-je avec du vert moi qui n’aime le vert qu’au fond d’un verre
Fut-ce un calvaire en solitaire ?
Merci à vous d’être de moi solidaires !
Interrupteur en métal recouvert de fimo
Objet décoratif incontournable, l’interrupteur est, dans le meilleur des cas assorti aux fenêtres au lieu de jouer de concert avec les rideaux et motifs de sol, et le plus souvent traité avec le plus grand dédain en étant simplement peint comme le mur. Si vous dites de moi qu’assortir ses interrupteurs à ses bijoux est de la folie furieuse, vous avez raison ! Car si je les décore avec la pâte qui me sert pour les perles, c’est simplement par perfectionnisme maladif, et en aucun cas pour guirlander mes bijoux partout autour ! Car c’est un objet qui peut également se peindre et vernir, voir en-résiner pour pouvoir le laver souvent à cause des traces de doigts sales et irrespectueux à l’égard de la ménagère, etc… Je précise que cette idée ne vient pas de moi, j’ai trouvé dans un magazine « creare », des idées de déco à faire soi même, et vu des interrupteurs adorables il y a 2 ans. Je n’ai malheureusement pas conservé ce magazine et ne saurai vous donner plus de précision. Cependant, je ne vous montre que mes propres interprétations de cette bonne idée.
Les doigts sales et la technique classique d’assemblage de tranches de cannes:
Au sujet des doigts sales, et sachant que la peinture blanche ou claire même lavable ne s’éponge pas, je recommande une peinture acrylique pour décorer le contour. Vous pouvez simplement reprendre la forme en plus grand de façon classique, ou badigeonner à la dynamique de votre tempérament ! Voici un exemple de mes premiers, fait en disposant des tranches de cannes différentes les unes à côté des autres, épaisse de 2mm puis écrasées pour s’unir. On peut ainsi former un motif ou un dessin avec la technique de la mosaïque, mais sans lien car c’est la pâte qui se lie d’elle même. Celui ci n’est ni lissé ni poncé, brut de brut, posé sur un fond acrylique lavable.
Façon Mokum’art ou le motif aléatoire à paillettes:
Après avoir visionné la vidéo de Sabrina sur Pdp, j’ai eu envie d’essayer, mais avec une seule canne, faite à partir d’un dégradé recouvert recto verso de feuille d’argent, réduite et coupée, pour être assemblée de nouveau et compressée en boule (que vous apercevez sur ces photos).
Le tout dernier, une couche de fimo ultra fine recouverte de tranches de cannes différentes et une couche de translucide sur de la feuille d’argent. Le tout est découpé par petits bouts, et assemblés et superposés. Vous pouvez faire ça au hasard des motifs, mais je préfère créer un mouvement dans la disposition des motifs, et surtout des lignes argentées. Mais tout est permis, comme de la mosaïque superposée et liée par un lissage suivie de ponçage et lustrage pour faire ressortir les transparences et le brillant.
Technique de bijou mural à partir d’un support métalique
Tout d’abord, bien dégraisser à l’alcool éthylique le support de façon à ce que la pâte adhère bien lors de la cuisson et ne nécessite pas de colle. Pour ce modèle, j’applique une couche fine de mes restes d’une canne dans les tons du projet en base, mais vous pouvez tirer une couche du coloris de votre choix à la pasta machina. Une fois mise à plat, la pâte déborde du support et il faut couper le trop plein au dos pour pouvoir la poser sur le plan de travail, de façon à écraser sans crainte les motifs par la suite. Lisser au rouleau la base et préparer les motifs : Une feuille de trans sur feuille de métal, puis, coupées au rasoir auvergnat, des tranches fines et quasi transparentes de cannes de couleurs différentes sont posées en vrac sur la partie fimo de la feuille.La feuille de motif est déchirée, et les bouts sont posés sur la base, de façon,soit aléatoire soit organisée. Je choisi de créer un mouvement avec une ligne de paillettes posées à l’envers, en plein biais du support. Écraser de façon régulière les bouts de motifs et lisser pour finir. Encore une fois, il faut retourner le support pour trancher le surplus. A ce moment là, j’ajoute des tranches de coccinelles et un papillon pour faire « joli »! Ces motifs figuratifs sont écrasés au rouleau et incrustés dans le décor. Éventuellement, vérifier que ça ne déborde plus derrière, ne pas oublier de re-trouer à l’emplacement des visses en prévoyant la forme de la tête qui est plus large que le trou.
Cuire selon les indications du matériel (130° ou 110° 30 min) et jeter dans l’eau froide pour poncer sous l’eau. Papier waterproof 600 pour commencer si vous n’avez pas lissé au rouleau ou si c’est irrégulier, et au papier 1200 pour lisser correctement. Puis un bon lustrage fera l’affaire !
La fée et le prince crapaud
Après avoir cogité et dessiné des mignonnettes et des farfadets pour le fairyswap, je me suis décidée pour cette coquine là!
Mais elle n’est pas finie?
Non ! Je me demande encore comment la terminer, en bijou ou en objet décoratif? Et quelle paire d’ailes lui donner? Les grandes rigides ou les pointues flexibles plus fragiles?
Et le prince crapaud, je lui place dans la main gauche ou je le laisse à part?
Pas encore décidée la Medusa !
Les coeurs du 14 février
La saison des coeurs. D’habitude, je trouve ça ringard, mais cette année, j’ai eu envie de faire des coeurs…
Je choisis des coloris assortis au rouge, sans en être la dominante.
Je m’en fais un, puis ma fille en veut un, puis mon fils aussi. Alors je lui dis : » et à qui tu vas l’offrir ? »
« J’ai pas d’amoureuse ! » avait il hurlé. Mais le lendemain….
Dans cet ensemble, se cache la jupette de la fée de mon « fairyswap » et ses chaussettes pointues…
Le coeur en bas à gauche est montré brut, reste à polir et faire briller.
Mélanges de matières fimo rocaille swaro …
Ce n’est pas le genre de chose que j’ai l’habitude de faire, ou très peu. J’affectionne la polymère comme matière autant à travailler qu’à porter, et je ne vois pas toujours l’intérêt de l’orner d’autre chose.
Cependant, un essai, puis deux… c’est amusant de voir et de juger. J’avais tenté déjà un ajout de « swarovsky » noires, très discret, sur des attaches cellulaires à coccinelles, et eu envie d’aller plus loin, pas à pas…
Voilà le pas suivant : » rocailles sur fil de métal enroulé avec une boule » .
C’est très jeune fille, pas discret du tout, mais assez fun.
1Coccinelle, 1trèfle 4feuilles et numéro 13, soit trois porte-bonheurs en un pour les hyper malchanceux…
tutoriel fimo craquelé feuille d’or
Mes perles brunes et or me plaisaient bien, mais j’étais à cours d’idée pour le montage.
J’ai essayé avec les cailloux blanc et or acrylic, puis avec des brunes simples, puis avec un pendentif escargot marrant, puis tout rangé dans coin en attendant. Comme une envie de chocolat, je me suis sentie de le finir, car l’idée d’un pendentif floral m’a semblé approprié pour terminer ce travail. Un motif de fleur en creux pour m’amuser, et pendentif goutte sous une grosse perle pour l’esprit rétro d’une forme années 30, à porter sur les gros puls cet hiver.
Je prépare de nouveau du craquelé à la pasta machina et réalise la pièce maitresse de ce collier. En images les explications sous forme de tutoriel fimo pour le craquelé à la feuille d’or. Pour assortir aux perles déjà existantes dans ces tons, je prépare un dégradé d’or et cuivre en fimo qui servira de base au craquelé.
J’applique une couche de colle « gilding paste » au pinceau sur la bande et laisse sécher un quart d’heure avant d’appliquer la feuille. Après avoir craquelé la feuille à la pasta machina et tiré un peu dessus de façon aléatoire, je modèle le pendentif en appliquant le dégradé. J’aplatis un peu la perle pour une forme goutte et creuse une fleur au couteau de sculpture, puis je fais le trou pour le cordon.
Cuisson, 130°, 30 minutes.
Après cuisson, je repasse à la colle le contour des pétales et le coeur dans l’idée d’appliquer encore de la feuille d’or plus concentrée sur le centre. Je vernis pour fixer la feuille d’or et je laisse sécher avant de préparer la résine. Je remplis de résine liquide les creux des pétales pour un effet verre très brillant en faisant attention de ne pas déborder . Fiche technique sur la résine ici.
Le montage est prévu dans 24 heures, après durcissement de la résine. Mais j’ai déjà une idée…
Pasta macchina dégradés et craquelés
Avec la pasta machina, j’ai fait un dégradé de bleus, qui m’a servi de base à ce papillon. Le dégradé multicolore « arcenciel » a été obtenu suite à au moins 20 passages à la machine pour une spirale assez sympa, et avec les restes d’autres spirales dans l’autre sens.
Des papillons sur les dégradés ….
Toujours dans les dégradés, j’en ai fait un arc en ciel. Le jaune à l’intérieur, pour finir avec le bleu azur. La cane spirale qui en ressort et très fun. Superposition d’une fleur en centre sur cette perle, avec un papillon par dessus. Du bleu nuit à l’azur, une autre perle.
Avec seulement une touche de malice, pour une feuille de vigne très…Farfalle !
Le petit tas de perles qui en est sorti, cuites avec leur fil de métal, reste à faire les boucles. Un futur sautoir ? ….
Essai de feuille d’or en craquelé. J’ai utilisé la machine pour tendre une feuille de couleur cuivre régulière. Sur la pâte crue, une couche de « gilding paste » de « gédéo » à laisser sécher 15 minutes avant d’appliquer la feuille d’or. Après séchage, repasser dans la pasta machina une fois au plus grand, puis étirer à un cran en dessous. Mon résultat n’est pas terrible, j’ai trop malaxé les perles et l’or est resté un peu sur mes mains. J’aurais du laisser sécher encore un peu plus. Mais, c’est pas mauvais comme effet, surtout que je vais probablement les monter en association avec les cailloux chiffonesques de septembre.
Vernissage du toutime, les bruns à feuille d’or et les marbre blanc frottés d’acrylic or.
Pour le montage, je dois y penser un peu plus, on verra ça plus tard.
A suivre..